75 ans - L'équilibre en mouvement!

DOSSIER DE PRESSE

Programme

Mercredi 20 juin, 12h00-18h30
LA TRANSUMANTE de Johann le Guillerm

Performance architecturale
Départ devant l’Alimentarium

Parcours: Quai Perdonnet et Place du Marché, Vevey

Mercredi 20 juin, 14h30-17h30 et Jeudi 21 juin, 16h00-18h00
ATELIER « Architexture »

Place du Marché, devant la Salle del Castillo (sous la Grenette en cas de pluie), Vevey

Mercredi 20 juin, 18h00-22h00 et Jeudi 21 juin, 10h00-18h00
La Transumante à voir devant la Salle del Castillo 

Place du Marché, Vevey

Jeudi 21 juin, 18h00
GRANDE SOIREE DU JUBILAIRE

LE PROGRAMME

18h00 Accueil

18h30 Mots de bienvenue

19h00 Performance La Transumante de Johann Le Guillerm, performance architecturale

19h30 Conférence S’inventer demain, la santé mentale au défi par le Dr François Ansermet, Psychiatre, Psychanalyste, Professeur honoraire des Universités de Genève et Lausanne

Le monde change à une vitesse sans précédent. Il confronte et déstabilise. Par phases ou à demeure, la souffrance frappe à la porte, s’invite par la fenêtre. Comment alors l’aborder.

Comment affronter les défis du quotidien. Comment anticiper et s’inventer de manière à accepter qu’ils aient une valeur et participent à notre développement. C’est pour questionner notre sens de l’équilibre que la Fondation de Nant a souhaité inviter le Professeur émérite François Ansermet. Il nous livrera quelques clés de lecture basées sur son expérience clinique.

Etre l’auteur et l’acteur d’un devenir toujours à inventer dans un monde qui change : tel est l’enjeu pour chaque sujet, tel est aussi le défi pour Nant en ses 75 ans.

20h30 Apéritif dînatoire

La Transumante

Le bord du lac de Vevey s’ouvrira à un spectacle unique pour la première fois en Suisse. La performance architecturale monumentale La Transumante de l’artiste contemporain Johann Le Guillerm ­effectuera sa mue le long du Quai Perdonnet, depuis l’Alimentarium jusqu’à la Place du Marché de Vevey. Un parcours ad hoc a été imaginé et on la verra escalader les rochers du bord de l’eau, se faufiler entre les arbres et chevaucher les bancs publics. Ce projet développé pour la première fois sur la Place du Panthéon à Paris en 2014 dans le cadre de Nuit Blanche se construit et se déconstruit sans forme prédéfinie. La Transumante peut atteindre 200m2 au sol et grimper jusqu’à quatre mètres de haut sans aucun support de fixation. En effet, l’œuvre tient assemblée par la pression des carrelets de bois les uns contre les autres dans des maillages complexes. 

https://www.youtube.com/watch?v=vbij-AGp1Ko

La Transumante, Cirque ici Johann Le Guillerm, création Nuit Blanche 2014, Ville de Paris
Avec le soutien du ministère de la Culture (DGCA et DRAC Ile-de-France), du ministère des Affaires Etrangères (Institut Français), du Conseil régional d’Ile-de-France, de la Ville de Paris et de l’Institut Français/ Ville de Paris. 
Cirque ici – Johann Le Guillerm est accueilli par la Mairie de Paris en résidence de recherche au Jardin d’Agronomie Tropicale (Direction de la Culture et Direction des Espaces Verts et de l’Environnement). 

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BIOGRAPHIE

Professeur François Ansermet

Professeur honoraire à l’Université de Genève et de Lausanne, après avoir été d’abord professeur ordinaire de pédopsychiatrie à l’Université de Lausanne (UNIL), vice-doyen de la Faculté de biologie et médecine à l’UNIL, médecin chef au Service universitaire de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent au CHUV ; puis de 2007 à 2017, professeur ordinaire de pédopsychiatrie à l’Université de Genève (UNIGE), tout en restant professeur ordinaire ad personam à l’UNIL, et sur le plan hospitalier chef du Service de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent aux Hôpitaux Universitaires de Genève, ainsi que directeur du Département Universitaire de Psychiatrie à la Faculté de médecine de l’UNIGE.

Pour ce qui concerne la Fondation de Nant : médecin assistant d’octobre 1979 à octobre 1980, puis médecin-chef de la pédopsychiatrie de 1985 à 1990, avec la création des consultations ambulatoires de Vevey et de Aigle, en plus de celle de Montreux, et du centre psychothérapeutique de jour de Chamoyron. Tout cela parallèlement à une activité de médecin-chef de la Division de pédopsychiatrie de l’Hôpital de l’enfance à Lausanne.

Psychanalyste, membre de l’Ecole de la Cause Freudienne à Paris, de la NLS (New Lacanian School), de l’ASREEP-NLS (Association Suisse Romande de l’Ecole Européenne de Psychanalyse – New Lacanian School), et de l’AMP (Association Mondiale de Psychanalyse).

Activités de recherche d’une part centrées sur la clinique périnatale, les traumatismes prénataux ou précoces, en lien translationnel avec la neurobiologique, en particulier à travers le programme national NCCR-Synapsy mis en place à l’initiative du Prof. Pierre Magistretti; d’autre part sur les conséquences des avancées nouvelles des biotechnologies, dans le champ des procréations médicalement assistées et de la médecine prédictive péri-conceptionnelle et prénatale ; sur les variations du développement sexuel et la clinique transgenre ; et enfin sur les liens entre neurosciences et psychanalyse, ainsi qu’aux relations entre art, sciences et psychanalyse, en particulier dans le cadre de la Fondation Agalma.

Membre du Comité Consultatif National d’Ethique à Paris depuis 2013.

Interview 24heures 07.10.2017 https://www.24heures.ch/sante/sante/Il-n-y-a-pas-de-mode-demploi-pour-la-vie–/story/28391333

Biographie (sélection)

  • Ansermet F, Mejia Quijano C., Germond M.,. Parentalité stérile et procréation médicalement assistée : le dégel du devenir. Ramonville Saint-Agne : Erès, 2006.
  • Ansermet F, Germond M, Mauron V, André M, Cascino F. Clinique de la procréation et mystère de l’incarnation : l’ombre du futur. Paris : Presses Universitaires de France, 2007.
  • Magistretti P, Ansermet F. (Dir.) Neurosciences et psychanalyse : une rencontre autour de la singularité. Paris : Odile Jacob, 2010,
  • Ansermet F. Magistretti P. Les énigmes du plaisir, Odile Jacob, Paris, 2010.
  • Ansermet F, Magistretti P.  A chacun son cerveau : plasticité neuronale et inconscient, Odile Jacob, 2004 – réédité en poche, Odile Jacob, Paris, 2011.
  • Ansermet F. Clinique de l’origine, éditions Cécile Defaut, Nantes, 2012.
  • Ansermet F, Giacobino A. Autisme : à chacun son génome. Paris : Navarin/Le champ freudien, 2012,
  • Ansermet F, Sorrentino MG. Malaise dans l’institution : le soignant et son désir. 3ème éd. Paris : Economica/Anthropos, 2013.
  • Ansermet F, La fabrication des enfants. Un vertige technologique. Odile Jacob, Paris, 2015
  • Ansermet F, Nourry Prune, Serendipity, Editions Acte Sud, 201

PHOTO PROFESSEUR ANSERMET HD

Pour toutes demandes d’interview contacter lysander.jessenberger [@] nant.ch ou +41 21 965 70 58

Echanges avec le Professeur Ansermet au sujet de sa conférence du 21 juin

Le thème de la conférence est « S’inventer demain, la santé mentale au défi ». Comment avez-vous prévu de l’aborder ?
Le principe éthique de la psychiatrie devrait être de se tourner vers l’avenir et de ne pas être nostalgique du passé. Le passé nous détermine, c’est là que vont se dessiner les impasses de l’individu. Mais il faut anticiper l’avenir plutôt que de trop regarder les déterminants du passé, en réalisant que dans le présent il y a des potentiels de changement énormes.

Il est à la fois question d’accepter les souffrances et de ne pas céder au déterminisme, est-ce que cela n’est pas contradictoire ?
Pour l’individu, en s’inventant soi-même demain, il invente aussi un lendemain différent, il crée l’avenir. C’est la responsabilité de chaque sujet d’être dans un rapport créatif avec sa vie : une vie, c’est aussi une œuvre. Comprendre ce qui nous détermine ne nous dit pas vers quoi on va aller, cela dépend de la réponse de chacun. Le travail clinique en psychiatrie consiste à favoriser la réponse de chacun, son invention, sa solution toujours unique et différente.

Vous avez fait votre carrière dans la psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent, est-ce que vous pensez que l’on a tendance à trop vite étiqueter les enfants avec des troubles ou des maladies psychiatriques ?
La clinique de l’enfance doit être une clinique de la rencontre, à un moment précis, décisif. Il faut saisir la souffrance spécifique de l’enfant. Saisir ses potentialités au-delà de son impasse. Il y a un risque de passer de la prévention à la prédiction, voire même à la prescription de ce que l’on redoute. Alors que le diagnostic porté à un enfant ne permet pas de dire quel sujet va en résulter, quel adulte va s’en déduire. Ce qui ne signifie pas qu’il ne faut pas de diagnostic: il faut des repères précis, mais toujours pour les aborder dans la perspective de la solution, qui est finalement le fait du sujet lui-même.

Pensez-vous que c’est valable aussi pour des adultes ? En quoi est-ce que le contenu de votre conférence sera universel ?
La potentialité de l’enfance reste présente toute la vie, y compris chez les personnes âgées. Il est vrai que plus le temps passe et plus les gens risquent de se piéger dans leurs impasses, mais chaque crise de la vie est l’occasion de les dépasser.

Il y a une composante du thème qui relève presque du développement personnel. Où se situe selon vous la frontière avec la Psychiatrie ?
La psychiatrie se situe à l’interface entre l’individuel, le collectif et le biologique. Il y a une chance pour advenir différemment dans de nombreuses situations difficiles. Dans ce contexte la psychiatrie va se concentrer sur ce qui entrave le devenir, empêche l’émergence d’un développement personnel. Des dépressions sévères, des troubles de la personnalité, des angoisses paralysantes ou des traumatismes de la vie peuvent mettre en péril les ressources d’un devenir possible. Je préfère le terme de devenir à celui de développement personnel. La psychiatrie doit ouvrir un devenir possible, permettre au sujet de retrouver une liberté. Néanmoins il faut être conscient qu’il y a pour certaines personnes des maladies psychiatriques qui continuent à les entraver, c’est un fait qui nécessite que la société joue le rôle d’ offrir une ouverture à ces personnes que la souffrance mentale referme.

Vous qui avez passé plusieurs années à la Fondation de Nant au début de votre carrière, qu’est-ce que cela vous fait d’y être invité en qualité de conférencier à l’occasion de la Soirée du jubilaire ?
Revenir à Nant pour cette conférence, c’est un peu une rencontre avec moi-même. J’y ai fait deux fois mes débuts, ceux de Médecin assistant et ceux de Chef de la Psychiatrie de l’Enfant et de l’Adolescent. Cette Fondation s’est constituée autour d’un idéal humaniste qui m’a marqué, en maintenant de multiples interfaces avec la société, comme une condition par rapport à son projet de soin. Quand un patient se présente à la psychiatrie, c’est aussi qu’il y a un chaînon de ce qui le relie à la société qui ne fonctionne pas. La personne qui souffre d’une affection psychique est en lien avec un environnement. On doit ainsi traiter autant le sujet que sa relation à son entourage ou à la collectivité. Il s’agit de trouver une réponse possible, tant du côté du sujet que de la société. La Fondation de Nant pratique justement une psychiatrie centrée sur le patient et sur la relation avec lui, sur la dignité de ce qu’on peut lui proposer. C’est ça l’esprit de Nant. Je suis donc très honoré par cette invitation à m’associer aux festivités du jubilaire.

BIOGRAPHIE

Johann Le Guillerm

Johann Le Guillerm est issu de la première promotion du Centre National des Arts du Cirque. Il a travaillé avec Archaos, participé à la création de la Volière Dromesko et co-fondé le Cirque O. En 1994, il crée sa propre compagnie, Cirque ici et un premier spectacle solo, Où ça ?, qui tournera cinq ans.  Johann Le Guillerm obtient le Grand Prix National du Cirque  en 1996, le Prix des Arts du Cirque SACD en 2005 et le Grand Prix SACD en 2017 qui récompense l’ensemble de son projet Attraction. En 2002, il s’engage dans Attraction, projet de recherche qui interroge l’équilibre, les formes, les points de vue, le mouvement et l’impermanence. Attraction fait voler en éclat les disciplines traditionnelles du cirque. Il s’articule autour d’un spectacle sur piste (Secret), d’installations (La Motte et Les Imperceptibles sculptures en mouvement), Les Architextures, sculptures auto-portées, Les Imaginographes (outils d’observation), et d’une conférence performée Le Pas Grand Chose – création 2017.  En 2013, il crée La Déferlante pour l’Espace Chapiteau de La Villette à Paris, œuvre pérenne qui rejoint les formes monumentales d’Attraction.  Depuis 2011, Johann Le Guillerm est soutenu et accueilli en résidence de recherche par la Mairie de Paris au Jardin d’Agronomie Tropicale.

Portrait Le Monde 25.01.2017 http://www.attraction2017-18.com/portrait/

PHOTO JOHANN LE GUILLERM HD

Pour toutes demandes d’interview contacter lysander.jessenberger [@] nant.ch ou +41 21 965 70 58

Mercredi 20 juin, 14h30 à 17h30 et Jeudi 20 juin, 16h00 à 18h00

Ateliers Architextures

Ateliers pour enfants et leurs parents En lien direct avec le projet artistique, les enfants dès 10 ans et leurs parents sont invités à construire des structures architecturales avec de mini carrelets de bois. Une plongée dans différentes formes d’équilibre, qui permettent à ces éléments en bois de tenir ensemble sans clou, ni vis, ni colle, mais simplement par le maillage qui les compose.

Une ouverture aux classes scolaires Pendant la journée du jeudi 21 juin, nous offrons sur inscription la possibilité aux classes de venir s’essayer à ces constructions. Pour plus d’informations : +41 21 965 70 58

PHOTO ATELIERS ARCHITEXTURES HD

Notre Histoire

L’institution est née en 1943 de l’initiative privée d’un groupe de personnes pour qui les valeurs chrétiennes étaient centrales, une équipe principalement féminine composée de trois puis quatre femmes et d’un homme. L’institution est née d’une pratique soignante (comme la psychiatrie) et non d’une pratique médicale, et a débuté par la création d’une communauté thérapeutique.
L’institution a d’abord fonctionné comme un hôpital d’avant la colonisation médicale et s’est professionnalisé dès la fin des années cinquante avec l’arrivée de M. Jean-Claude Monney fils des fondateurs et infirmier en psychiatrie. Dans la lancée, le premier médecin chef arrive au début des années soixante. Progressivement, les valeurs chrétiennes évoluent en valeurs humanistes et en harmonie avec le projet clinique qui se formalise.
L’institution se constitue en fondation en 1961. La clinique de nant de l’époque est d’abord conventionnée avant de devenir l’hôpital psychiatrique du secteur de l’Est vaudois en 1968 avec le développement de la sectorisation psychiatrique du canton de Vaud (4 secteurs disposant de l’ensemble du dispositif psychiatrique : hospitalier, intermédiaire et ambulatoire). L’arrivée du Dr Claude Miéville, médecin chef, en 1973 donnera une impulsion à la professionnalisation en formalisant un projet clinique basé sur le travail relationnel en complète phase avec les valeurs humanistes portées par M. J. C. Monney infirmier chef. Ce duo travaille en grande harmonie et développe une philosophie de soins et un intérêt pour les médiations corporelles dans les traitements psychiatriques. Le Dr N. de Coulon, futur directeur médical de 1989 à 2005, en fera son sujet de thèse en 1980.
Au début des années 1980, après une réflexion approfondie sur l’histoire de la psychiatrie vaudoise et ses perspectives, le Service de la Santé Publique vaudois propose à l’institution de se charger de l’ensemble de la psychiatre publique de l’Est vaudois. Ainsi, dès 1985, la Fondation de Nant devient le Secteur psychiatrique de l’Est vaudois, c’est-à-dire qu’elle se charge de l’entier du dispositif de secteur pour les trois âges et intègre en son sein les structures ambulatoires et intermédiaires (Policlinique et Centre de jour). La Fondation continue d’étoffer son dispositif, fidèle à ses valeurs humanistes et son référentiel théorique psychanalytique : centre ambulatoire spécialisé pour les addictions, psychiatrie transculturelle, équipe mobile pour les trois âges, liaisons, programmes cantonaux, etc.
La formation est un domaine très investi par la Fondation qui propose une approche bien identifiée qui attire les professionnels. Le catalogue de formations comprend une cinquantaine de séminaires pour les professionnels du soin et sont ouverts à l’extérieur. La formation est un moyen de cultiver la cohérence clinique, la qualité de soins et l’attrait pour le personnel. Par ailleurs, elle reçoit plus de cent stagiaires en formation initiale des filières HES et l’ESSC, sans compter les stagiaires médecins ou psychologues pour ne citer que les principaux. Les collaborateurs sont aussi impliqués pour intervenir dans les centres de formation des différentes professions.
La Fondation coordonne son activité avec les trois autres secteurs psychiatriques vaudois regroupés au sein du Département de Psychiatrie du CHUV sous l’égide du Service de la Santé Publique. Elle collabore étroitement avec les institutions du secteur, notamment l’HRC et les EMS régionaux et les soins à domicile.

La Fondation de Nant En bref

La Fondation de Nant – Secteur psychiatrique de l’Est vaudois – est un réseau de soins psychiatriques. Elle assume une mission de santé publique à la demande de l’Etat de Vaud. Ses services de soins sont ouverts à tous, enfants, adolescents, adultes et personnes âgées habitant les districts d’Aigle, de Lavaux-Oron et de Riviera-Pays-d’Enhaut. Elle dispense des soins de santé mentale pour une population de 187’000 habitants (Service cantonal de recherche et d’information statistiques – SCRIS 2015). Ses missions englobent l’urgence psychiatrique, la psychiatrie ambulatoire, intermédiaire, hospitalière et la formation des professionnels en santé mentale. Son action de base consiste à soigner par une relation thérapeutique personnalisée les patients confrontés aux problèmes psychiques qui bouleversent leur vie. Plus de 5’000 patients (chiffres 2017) y sont traités par année ce qui correspond à un peu plus de 2% de la population résidente, les deux tiers dans des unités ambulatoires, un tiers étant hospitalisés. Quelque 90’000 consultations sont dispensées chaque année.
La Fondation de Nant emploie quelque 460 personnes, soit 320 EPT (Equivalent Plein Temps). L’institution est affiliée à la Fédération des Hôpitaux Vaudois (FHV), organe faîtier des hôpitaux régionaux vaudois reconnus d’intérêt public. La Fondation de Nant est également membre du Réseau Santé Haut-Léman et de l’Association vaudoise des organisations privées pour personnes en difficulté (AVOP).

T. +41 21 965 70 58
E. lysander.jessenberger [@] nant.ch
Route de Nant 1804 Corsier-sur-Vevey